Good bye Klek
On s’est levé, les effets de la déshydratation dûs à l'alcool se faisaient sentir. Et plus d’eau potable sur le camp. En effet vu que c'était la fin du camp, on ne rachetait plus d'eau en bouteille. Un peu comme à l'aller avec l'eau jaune de Croatie, on a bu le minimum d'eau du robinet (qui était verte ou blanche selon le robinet), juste de quoi s'humidifier un minimum la bouche. Il n'y avait plus rien non plus à manger (ou presque), car j'ai retrouvé des petits gâteaux que the bride avait ramené (c'était des restes de son mariage).
See you next year Klek
Après les adieux et la photo de groupe devant le panneau Ekoklek peint par Vanja et Katca, nous prîmes la route. Pas de problème particulier sur la route. Par contre à la frontière ! À la frontière serbo-croate on a mis environ 50 minutes pour changer de l'argent, alors qu’il y avait absolument personne ! On a dû faire huit bureaux de change différents. Personne ou presque ne parlait anglais. Une dame qui travaillait au Exchange Office (son travail consiste donc à changer de l'argent on est d'accord) a mis une minute à comprendre qu'on parlait d'euro. On prononçait « you-ro » (à l'anglaise) et elle ne pigeait rien ! On a alors tenté de prononcer « euro » selon toutes les variantes qui nous passaient par la tête. Finalement elle a compris qu’on lui parlait d’euros quand on lui a dit un truc du genre « oye-losse »... Pour une dame qui change de l'argent à longueur de journée on avait rencontré mieux !
LES DOUANIERS CROATES SONT DES GROS CONS. Voilà c’est dit. Ne me demandez pas pourquoi c’est du vécu.
Ensuite la Slovénie, où nous avons mangé ce plat de pâtes dégueu dans la voiture car il pleuvait. N'achetez jamais de sauce pour les pâtes en Serbie !
La couleur orange est authentique, le goût... unique
Vers minuit on était à hauteur de Venise, on s’est donc arrêté pour aller y marcher un peu avant d'aller dormir. C'était sympa bien que plein de rats et de déchets... Venise n'est pas du tout une ville romantique !
3 clochards sur la place San Marco